UN DON – Pour que la contrebasse de Guillaume Bouchard résonne à nouveau !

Guillaume Bouchard
Guillaume Bouchard

Depuis plus de 2 ans, la contrebasse de Guillaume Bouchard s’est tue puisque celui-ci est atteint de la maladie de Lyme*. Diagnostiqué aux États-Unis en 2016, le musicien a commencé depuis des traitements. Malheureusement, ceux-ci s’avèrent très coûteux (environ 12 000 $ par année durant 2 à 5 ans) et ne sont pas couverts par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ), la maladie chronique de Lyme n’étant pas reconnue au Québec. Le jazz de Guillaume Bouchard a rempli nos oreilles pendant des années, voici une bonne occasion de lui rendre la pareille en contribuant sans attendre à la campagne de sociofinancement qui lui permettra de se rendre au bout de ces 2 années de traitement !

Un chemin difficile

Après plusieurs diagnostics erronés et beaucoup de temps et d’énergie perdus à passer d’un médecin à un autre, ce n’est qu’en juin 2016 que les symptômes ont eu un nom. La maladie de Lyme affecte les personnes de diverses façons. Guillaume a dû cesser de travailler durant une grande période et ne peut toujours plus monter sur scène. Ayant commencé le traitement depuis le diagnostic, il constate des améliorations sur son état général. Ce traitement n’est pas toujours facile physiquement, car il doit prendre plusieurs antibiotiques en même temps et le corps ne réagit pas toujours bien à ceux-ci. De plus, comme Guillaume est musicien, travailleur autonome et que la maladie chronique de Lyme n’est pas reconnue ici, il n’a recours à aucune assurance invalidité ou autre depuis son arrêt de travail en décembre 2014.

Lien pour faire votre don : ?http://haricot.ca/project/guillaumebouchard-lyme

Anne Thivierge, annethi@hotmail.com ou 581 888-5274

En espérant que le contrebassiste Guillaume Bouchard puisse remonter sur la scène bientôt pour continuer à offrir au public sa magnifique musique !

* La maladie de Lyme est contractée par une piqûre de tique. Si elle n’est pas traitée rapidement, comme c’est le cas pour Guillaume, la maladie devient chronique. Elle est alors très difficile et longue à soigner