They Call Me Rico and The Escape

They Call Me Rico

Le nouvel album disponible le 9 novembre

«?…le fulgurant They Call Me Rico. Blues rock à souhait, un look imparable et surtout, un son énorme.?»
– Rolling Stone (France), Septembre 2018

Qui est They Call Me Rico The Escape ?

Rico est un One Man Band. Un homme seul contre tous. Sur Sweet Exile il a décidé de rallier à sa cause les pistoleros Jean Joly (basse) et Josselin Soutrenon (batterie) et ensemble, ils sont Rico & The Escape. Trois hommes à l’ambition décuplée, battant les flancs de leurs montures pour porter sur scène leur arsenal rutilant.

Musique

Rico mêle adroitement les mélodies du folk, la force du blues et la vivacité du rock, le tout enrobé de se voix rocailleuse et ténébreuse. Slide nerveux, talon de botte usé à trop cogner le sol pour marquer le tempo, leur musique entrainante s’écoute très bien. Dès les premières notes de la pièce titre Sweet Exile, en passant par les plus cool If You Should Leave Me et Take Me As I Am, jusqu’au dernier souffle d’harmonica dans The Devil Made Me Do It, Rico offre avec Sweet Exile un disque où les frappes sont insistantes, les guitares bien sales et les harmonies vocales survolent le comme le vent du désert.

Un groupe qui s’est promené ici, aux États-Unis et en Europe

Avec les chansons de ses précédents albums, Frédéric Pellerin alias THEY CALL ME RICO a roulé sa bosse ici comme outre-mer. Il s’est produit plus de 500 fois au Canada et en Europe, tenant l’affiche lors de nombreux événements majeurs comme le Festival international de jazz de Montréal, Nuits de Fourvière où il était en ouverture de Jack White, le Cognac Blues Passion ou Jazz à Vienne en France. Il a aussi fait un saut aux États-Unis, à l’International Blues Challenge de Memphis.

Les 9 pièces de l’album sont accompagnées d’un livret imagé et des paroles de chansons.

  1. Sweet Exile
  2. Needle in a Haystack
  3. Love Is a Vampire
  4. If You Should Leave Me
  5. Take Me as I Am
  6. Odd One Out
  7. When the Summer Ends
  8. Number One
  9. The Devil Made Me Do It