Du sang il y en a en tout plein. Des pierres précieuses, tout autant et elles sont la source de tous les problèmes. Alexandre Jobin reprend encore du service. Antiquaire et officier retraité des services du renseignement de l’armée canadienne, il se trouve mêler à une aventure comportant des pierres précieuse, des meurtres, et de l’amour. Tout ce qu’il faut pour tenir le lecteur en haleine. Et c’est ce qu’André Jacques fait dans De pierres et de sang.
Un thriller qui nous entraîne de Yellowknife à Anvers en Belgique et qui allie l’art et le crime. C’est aussi une façon de montrer les dessous du monde secret de l’industrie diamantaire.
Un roman policier bien ficelé qui vaut la peine d’être lue.
Dans la nuit de l’Arctique, Julie Dorval, agente de sécurité dans une mine de diamants au nord de Yellowknife, s’empare d’un lot de ces pierres précieuses et disparait. Traquée par les dirigeants de la mine, la GRC, le SPVM et les services secrets français, elle doit prendre la fuite et s’envoler vers l’Europe. Le seul à pouvoir la retrouver et lui venir en aide est Alexandre Jobin, ancien collègue de l’armée a qui elle a sauvé la vie lors d’une mission à l’étranger. S’engage alors une course effrénée, parsemée d’affrontements sanglants et de cadavres… un parcours entremêlé de pierres et de sang.
Longtemps professeur de littérature, de cinéma et d’histoire de l’art, André Jacques partage avec son héros l’amour de l’art et le goût pour le scotch de qualité. Vivant tant à Beaulac-Garthby qu’à Sherbrooke, il se consacre aujourd’hui entièrement à l’écriture. Son précédent roman, La Commanderie, a récemment été classé parmi « les dix incontournables du polar québécois », tandis que sa nouvelle policière intitulée Le Traducteur a reçu le prix Alibis 2007. Avec La Tendresse du serpent, l’auteur nous offre le troisième volet de la saga d’Alexandre Jobin, ce singulier enquêteur, bon buveur et séducteur – souvent malgré lui…
Nombre de pages : 468
Prix suggéré : 26,95 $
