Dans cet article, j’ai décidé de vous faire découvrir mes coups de cœur littéraire de la dernière année, et de vous faire connaitre ces auteurs un peu plus pour peut-être vous donner le goût de lire ce qu’ils nous ont concocté en 2014-2015. Puis dans mon article demain, je vous parlerai des nouveautés de cette année à venir, qui me font déjà saliver d’anticipation!
Mes coups de cœur de la dernière année :
Cette année, j’ai découvert de nouveaux auteurs qui m’ont charmé avec leur premier roman pour la plupart. Que ce soit par leur originalité, leur audace, leur sensibilité, leur pertinence, j’ai voulu en rencontrer quelques-uns pour qu’ils me parlent de leur expérience d’écriture et qu’ils me donnent un avant-goût de leurs prochains projets s’ils en ont.
L’Éphémère de Stéphanie Deslauriers chez Stanké
Ce livre était votre premier roman, bien que vous avez déjà écrit des livres pédagogiques en plus d’écrire des chroniques. D’où vous est venue l’idée de ce livre? « Cela fait 7 ans que ce livre est débuté, que j’ai écrit le premier mot, mais sans vraiment savoir que cela deviendrait un roman. J’étais dans une période difficile de ma vie et pour me faire du bien, j’ai écrit. J’étais aux études en psychoéducation et je me suis dit que ce que j’avais écrit pourrait faire un livre, mais sans aller plus loin pour l’instant. J’ai plutôt écrit 4 livres pédagogiques à la place. Et c’est en 2012 que j’ai été contacté par le groupe Librex (qui s’occupe entre autres de Stanké) pour écrire un livre sur l’intimidation. Je leur ai dit oui, mais je voudrais d’abord écrire mon premier roman que j’ai en tête depuis longtemps. J’ai donc travaillé avec eux pour terminer mon livre qui a été publié en septembre 2014 »
Vous avez gagné récemment le grand prix de littérature adulte de l’association des Auteurs de la Montérégie 2015. Qu’est-ce que cela vous fait de recevoir ce prix? « Je pense que je n’en reviens pas encore. C’est tellement une belle reconnaissance et j’en suis encore bouche bée. Et je ne pense pas que je réalise encore l’ampleur de l’impact d’un tel prix pour mon livre. Mais j’en suis très contente.»
Sauf pour Éva, le prénom des personnages débute tous avec la lettre A (Alexis, Arnaud, Adèle, Ariane). Pour quelle raison? A pour amour ? « C’est très intéressant comme idée, mais non. En fait, Éva se sent toujours un peu à l’envers des autres. Et son nom se termine par un A, tandis que ceux de ses amis débutent tous par un A. Même qu’au début, le livre L’éphémère a failli s’appeler l’envers d’Éva, un peu à cause de ça. »
Est-ce que vous avez d’autres projets d’écritures? « Oui, j’en ai plein de projets. J’ai un deuxième roman qui sort chez Stanké et qui va s’appeler la Trahison des corps qui va sortir au mois d’aout. Ce sera différent de l’Éphémère complètement, mais dans le même ton. Et je vais avoir un antiguide pour les parents qui va sortir en octobre chez Guy St-Jean éditeur. Pour ce livre, comme je suis psychoéducatrice, je voulais dire aux parents de se fier à leurs valeurs, de se faire confiance comme parents, au lieu de trop lire et tenter de suivre tous les conseils des autres. Je veux ramener les gens à se faire confiance et faire des choix sans se culpabiliser ou se juger. En 2016, j’aurai un autre livre chez Stanké aussi.»
Voici le lien vers mon appréciation du livre L’éphémère de Stéphanie Deslaurier
La vie au pas de course de Julie Grenier chez Libre expression
Vous êtes parmi mes coups de cœur de l’année avec votre livre La vie au pas de course.
Ce livre était votre premier roman. D’où vous est venue l’idée de ce livre? « J’ai toujours aimé lire et écrire. J’ai toujours eu une facilité dans l’écriture. Et, il y a 10 ans, avant l’arrivée des blogues et autres sur internet, j’ai tenu un journal virtuel qui s’appelait le grenier à Julie. Je m’amusais à écrire des chroniques. Et après 2 ans de ces écrits, j’ai arrêté, car j’allais accoucher de ma première fille. Mais je savais que je reviendrais à l’écriture un jour. En 2012, j’étais au marathon d’Ottawa avec des amis coureurs (moi je ne courais pas à l’époque). Je trouvais cela tellement inspirant de les voir. Je les enviais, de voir comment cela les faisait vibrer, de courir. Et là, je me suis dit, et moi, qu’est-ce qui me fait vibrer comme ça, m’inciter à me dépasser et à être fière de moi?… L’écriture. Donc, je me suis fait un plan et un jour j’ai commencé à écrire et ça m’a pris 1 an et deux mois, à travers tout le reste (carrière, vie de famille) pour écrire ce livre.»
Jusqu’à quel point la Gabrielle de votre livre vous ressemble-t-elle? « Je pense que si vous demandez à mes amies, elles vous diront que c’est une copie assez conforme de moi ou presque. Hahaha! Il y a beaucoup de Julie dans Gabrielle, oui, mais pas en tout point quand même. Mais il y a effectivement plusieurs anecdotes qui sont des bouts de vie à moi. Il y a des traits de personnalités de moi et des gens autour de moi que j’ai prêtés à mes personnages, mais il n’y a en fait personne qui est exactement représenté dans le livre. En fait, ce livre représente beaucoup la vie active des femmes d’aujourd’hui qui ont une carrière et des enfants et qui vivent au pas de course finalement. »
Vous avez également une page Facebook où vous gardez contact avec vos lecteurs (lectrices) et faites même des concours. C’est important pour vous ce contact? « Bien sûr! J’aime avoir ce contact avec les gens qui me disent ce qu’ils ont pensé du livre. Et tu te rends compte que le bouche à oreille est fantastique pour faire découvrir tes œuvres. Et pour ceux qui me suivent sur ma page Facebook, je vous dis que je prépare quelque chose que vous verrez bientôt sur ma page. Soyez à l’affut! »
Est-ce que vous avez d’autres projets d’écritures? « Oui et cette fois-ci ce sera complètement différent de ce que je viens d’écrire. Je me lance comme défi de créer une héroïne qui me ressemble un petit peu moins. »
Voici le lien vers mon appréciation du livre La vie au pas de course par Julie Grenier
https://info-culture.biz/2015/02/05/la-vie-au-pas-de-course-par-julie-grenier/#.VR_NF9yG-So
Montagnes Russes de JoÈve Dupuis aux éditions DeMortagne
Ce livre était votre premier roman. D’où vous est venue l’idée de ce livre ? et comment avez-vous trouvé cette expérience d’écriture? « Tout d’abord, j’avais écrit un premier manuscrit, mais il n’a pas été retenu. Les éditions DeMortagne m’ont contacté pour me dire qu’ils aimaient mon style, mais mon livre n’entrait dans aucune de leur collection et il manquait certains éléments dedans. Puis, ils m’ont dit que mon style d’écriture serait parfait pour la collection Tabou et qu’il y avait de la demande pour certains sujets. Et donc, avec leur aide, ils m’ont coaché pour améliorer ce qui manquait dans ma présentation de livre et je me suis lancé dans ce livre qui parle entre autres du sujet de la bipolarité. »
Parler de bipolarité avec autant de précision, cela demande de bien connaître le sujet. Tu en connaissais quoi de la bipolarité? « C’est un sujet qui est bien documenté chez les adolescents. De plus, j’ai ma mère qui travaille en relation avec les adolescents, elle m’a donc beaucoup aidé. Aussi, je sais c’est quoi que d’être déprimé ou anxieuse, je l’ai vécu étant ado. Alors avec tout ça en plus des recherches, j’ai pu créer des personnages crédibles et une histoire réaliste. Mais au-delà de la bipolarité, ce livre est une histoire d’amour avec des adolescents et bal de finissant. Et ça aussi je connais bien ça comme sujet. »
Quelle est la réaction des gens face à ce livre et surtout ce sujet qu’est la bipolarité? « J’ai eu beaucoup de gens qui me disent que j’ai bien cerné le sujet. Il y a des parents aussi qui me disent qu’avec un livre, c’est une bonne façon d’amorcer une discussion. J’ai également des ados qui m’ont dit se sentir moins seuls, après avoir lu le livre. »
Est-ce que vous avez d’autres projets d’écritures? « J’écris présentement un autre livre, mais pas pour la collection tabou, mais toujours pour DeMortagne. C’est un livre qui s’adresse aux femmes 35-40 ans. C’est un roman d’amour, mais pas du tout dans le style de 50 shades of grey, plus dans un style roman Harlequin, mais très 2015. Ce livre sera probablement prêt en 2016 seulement.»
Voici le lien vers mon appréciation du livre Montagnes Russes de JoÈve Dupuis
Oser Paris de Marilyn Préfontaine aux éditions La semaine
Vous êtes parmi mes coups de cœur de l’année avec votre livre Oser Paris. On en apprend sur Paris, et on rigole franchement avec toutes ces anecdotes que vous décrivez de là-bas. Ce livre était votre premier roman. Il est né à partir d’un blogue que vous avez tenu je crois pendant que vous étiez à Paris. D’où est venue l’idée de le publier sous forme de livre? « J’ai commencé à écrire ce blogue, pour voir justement si je pouvais avoir la discipline d’écrire plusieurs soirs par semaine, pendant une année, pour aller au bout d’un projet. C’est donc lors de mon deuxième séjour à Paris que j’ai commencé l’écriture. Et ensuite, ce sont mes lecteurs qui étaient assidus sur mon blogue qui ont été déçus que ça s’arrête à mon retour de Paris. J’ai donc voulu en faire un livre, car je voyais que cela plairait aux gens. »
C’est important pour vous de venir rencontrer les gens dans les salons du livre? «Oui c’est intéressant de voir les gens qui vont lire mon livre. Et dans les faits, je m’imaginais un peu qui pouvait être mon lectorat et je me rends compte que mes lecteurs ne sont pas nécessairement juste le public que je visais. C’est beaucoup plus large. J’ai des hommes de 50 ans qui me lisent, et même de jeunes adolescents, pas juste des femmes entre 25-35 ans. C’est agréable de voir que mon livre plait à un large public. Et j’aime bien quand les gens m’abordent et me parle de leurs petites histoires avec Paris. Je pense que c’est pour ça qu’ils aiment bien mon livre. Ils se reconnaissent un peu à l’intérieur ou y voient des choses qui vont les chercher.»
Est-ce que vous avez d’autres projets d’écritures? « Oui assurément. Pour l’instant, je suis enceinte de mon 2e enfant et cela m’amène beaucoup d’inspiration. Alors, je pense que je vais m’en aller dans ce créneau pour le prochain roman, mais toujours dans le style humoristique »
Voici le lien vers mon appréciation du livre Oser Paris de Marilyn Préfontaine
https://info-culture.biz/2014/12/15/oser-paris-de-marilyn-prefontaine/#.VR_PhdyG-So
Le Pharmachien de Olivier Bernard aux éditions Malin.ca
J’ai adoré votre livre Le Pharmachien. C’est drôle et instructif à la fois.
Vous êtes un vrai pharmacien dans la vie et un bédéiste-satiriste en plus d’avoir des chroniques médicales à la radio et télé et votre blogue le Pharmachien. Pourquoi en avoir écrit un livre? « Le type de contenu que je fais sur le web, je me suis toujours dit que cela se prêterait bien à un livre. C’est illustré, pas beaucoup de texte. Donc, j’y pensais, mais je n’avais pas la motivation pour aller cogner chez les éditeurs. Et ce sont eux finalement qui sont venus vers moi. Et je dirais que c’est avec les éditions Malins que j’ai trouvé le meilleur contexte possible pour publier mon livre. J’avais carte blanche pour le faire. Et pour ceux qui se le demandent, oui, il y en aura d’autres livres dans le genre, car j’ai vraiment aimé le faire celui-là.»
Il y a eu cette semaine le lancement européen officiel du livre du Pharmachien en avril 2015 pour la France, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse ! Est-ce que cela vous surprend? «Oui c’est sûr! Quand j’ai commencé mon site web, je pensais avoir une centaine de personnes qui me lisent. Quand j’ai fait le lancement du livre, je me disais, que peut-être 1000 personnes l’achèteraient, mais dans les faits, on a eu une pré-commande de 1000 livres avant même la sortie. Alors, vraiment toutes mes espérances ont été dépassées largement. Alors, c’est sûr que d’être publié en Europe, c’est une totale surprise pour moi. »
Vous avez une page FB Le Pharmachien avec plus de 90 000 personnes qui l’aiment. Est-ce que les gens vous demandent souvent conseil soit sur la Page ou dans la rue? Et de vous occuper de tout cela c’est du travail beaucoup? « Oui c’est énorme comme travail. Comme sur le site web, je peux mettre parfois entre 25 et 35 heures par semaine lorsque je publie beaucoup. En plus de lire et répondre aux gens qui m’écrivent pour me donner des idées, des trucs, des bandes dessinées, des idées de faire des pamphlets ou pancartes pour les campagnes de vaccination par exemple. Ce sont des bonnes idées, mais c’est le temps qui manque pour tout faire. Je veux me consacrer à mon site web, mon livre et quelques autres trucs ici et là.»
Voici le lien vers mon appréciation du livre Le Pharmachien d’Olivier Bernard
https://info-culture.biz/2014/10/23/le_pharmachien/#.VR_SjtyG-So
et son site web : http://lepharmachien.com/
La série de livres Fanette (tome 1 à 7) de Suzanne Aubry Fanette chez Libre Expression
À l’été 2014, j’ai découvert une auteure qui n’en est pas à ses premières armes, mais pour moi, ce fut un vrai coup de foudre pour ses livres. J’ai passé tout l’été 2014 à découvrir Fanette du tome 1 au tome 7 et j’ai adoré. Cela a représenté surement une très grosse charge de travail et une discipline d’enfer pour écrire tout ça? « Cela a été 8 ans de ma vie que d’écrire et faire des recherches pour mes livres Fanettes. Je prenais environ 1 an pour écrire chaque tome et je faisais de la recherche continuellement. J’en ai fait par exemple au Nouveau-Brunswick, également à New York, pour d’autres passages des livres. Et pour la discipline, c’est sûr que j’écris chaque jour. C’est presqu’un sacerdoce. Pour arriver à écrire autant et garder mon exigence de qualité d’écriture, c’est tous les jours de ma vie que je dois écrire, ou presque. Je fais de la marche, des promenades pour m’oxygéner le cerveau. Mais oui, c’est une vraie discipline de fer pour garder le rythme d’écriture. »
Est-ce que cela a été difficile pour vous de dire adieu à Fanette et sa panoplie de personnages? «C’est drôle, mais on dirait qu’ils sont toujours là, avec moi. Ils ne m’ont pas quitté. Et les lecteurs les gardent en vie, en m’écrivant leur témoignage de lecture. En plus, la série sortira en livre de poche éventuellement, alors ça continue à vivre finalement. »
J’ai lu sur votre page FB que vous avez fait l’adaptation de Fanette pour la télé en anglais. «Oui et il y a aussi une traduction en anglais des livres de Fanette. Le premier tome est traduit déjà et est en mode revision. Alors, je suis rendue un peu comme une PME pour Fanette.»
Et sur quoi travaillez-vous actuellement? « Je travaille sur un autre roman, complètement différent. C’est mon univers par contre, avec les thèmes de la rédemption, de la quête, de retrouvailles. Et ce sera une histoire contemporaine qui se passera à Montréal, mais aussi dans les prairies canadiennes (St-Boniface au Manitoba, Saskatchewan). Il y a des batailles quotidiennes par les Canadiens français dans ces régions pour la survie de leur langue. C’est tellement héroïque et touchant. »
Voici le lien vers mon appréciation du livre Fanette Tome 7 de Suzanne Aubry
La rage de vivre de Emmanuel Lauzon aux éditions DeMortagne Collection Tabou.
Vous écrivez pour les adolescents ou même pour les plus jeunes encore. Vous abordez des sujets assez difficiles, parfois tabous comme le TDAH dans ce livre. Pourquoi justement vouliez-vous écrire cette histoire aux éditions De Mortagne? «Ce n’est pas facile effectivement comme sujet à aborder, mais dans mon cas, cela a été facile d’en parler, pour deux raisons. D’abord, je suis moi-même diagnostiqué TDAH, même si ce livre n’est pas autobiographique, c’est une fiction, mais c’était plus facile pour moi d’en parler puisque c’est un sujet que je connais bien. La deuxième raison c’est que je suis un intervenant jeunesse et je travaille avec des jeunes dont certains ont aussi ce diagnostic-là. J’ai donc pigé dans les traits, les symptômes, la personnalité de plusieurs d’entre eux, en plus de prendre des traits qui me sont propres à moi, pour en faire mes personnages du roman. Et j’ai voulu parler de ce sujet, car même si les jeunes sont mieux outillés maintenant pour vivre avec le TDAH, il reste qu’il y a encore des tabous à ce sujet (d’où le nom de la collection). Il ne faut pas oublier que le TDAH est un problème neurologique complexe et souvent les parents se sentent démunis devant le comportement de leur enfant et ils vont le punir au lieu de l’aider. C’est comme je dis dans le livre, Est-ce qu’on punit quelqu’un parce qu’il a besoin de lunettes? Non on lui donne des outils pour l’aider. Alors, c’est la même chose pour le TDAH. »
Vous avez d’autres projets d’écriture pouvez-vous m’en parler ? «Oui, je termine mon prochain roman dans la même collection Tabou. Ça paraîtra quelque part en 2015. Il aura comme thème Le Trouble anxieux généralisé (TAG). »
Emmanuel Lauzon écrit aussi pour les 7 à 9 ans et il a publié le deuxième tome de sa série Pou-ah!, Opération Sauve qui pou.
Voici le lien vers mon appréciation du livre La rage de vivre de Emmanuel Lauzon
https://info-culture.biz/2014/09/22/la-rage-de-vivre-de-emmanuel-lauzon/#.VR_W5tyG-So
Parmi ces nouveaux auteurs, il y a aussi Stéphanie Bourgault-Dallaire qui m’a plus énormément avec son roman un peu chick-lit et très humoristique sur le date coaching. Déjà j’ai hâte au tome 2 de son roman. Malheureusement, elle était absente du Salon du livre de Québec. Voici par contre le lien vers mon appréciation de son premier roman.
Abigaëlle et le date coaching tome 1 de Stéphanie Bourgault-Dallaire (absente du salon) :
Également absente du Salon du livre de Québec, Annie Lemieux-Gaudrault m’a séduite avec ses deux tomes de la peur du loup, où ses personnages vont apprendre à cheminer et vaincre leurs peurs pour devenir des personnes meilleures et vivre leur vie pleinement. J’ai également envie de lire le troisième tome le plus tôt possible.
La peur du loup Tome 1 (Sara) de Annie Lemieux-Gaudrault
La peur du loup Tome 2 (Élise) de Annie Lemieux-Gaudrault
Finalement, Francine Brunet, absente également du salon, m’a agréablement surprise avec son premier roman, tout petit, compact, mais très intéressant. Un premier roman rempli de finesse, suspens, poésie et un brin d’humour.
Le nain de Francine Brunet
https://info-culture.biz/2014/09/05/le-nain-de-francine-brunet-une-auteure-a-decouvrir/#.VR_Yh9yG-So
Voici également mes liens vers des livres qui m’ont particulièrement plus dans la dernière année.
La dernière sorcière d’Écosse de Valérie Langlois
https://info-culture.biz/2014/02/05/la-derniere-sorciere-decosse-de-valerie-langlois/#.VSktXdyG-So
Accro au malheur de Marie-Ève Potvin
Les gardiens de la lumière. Le paradis sur Terre Tome 4 de Michel Langlois
Le secret du 16V de Natasha Beaulieu
Va chercher L’insolite destin de Julia Verdi de Geneviève Lefebvre
Deux garçons à la mère de Guylaine Guay
https://info-culture.biz/2014/09/30/deux-garcons-a-la-mere-de-guylaine-guay/#.VR_U7dyG-So
Le guide des prénoms par les (Z’)imparfaites
https://info-culture.biz/2015/03/27/le-guide-des-prenoms-des-zimparfaites/#.VR_I6NyG-So
Déjeuners et collations santé pour dents sucrées et salées de Andréanne Martin et Annik De Celles
Pour la galerie photo du salon du livre de Robert Roussel :
https://www.flickr.com/photos/infoculturephotos/sets/72157651871761562/
Pour la galerie de photos de Réjeanne Bouchard
https://www.flickr.com/photos/infoculturephotos/sets/72157651512990339/
Crédit Photos : Robert Roussel, Réjeanne Bouchard